Mots à mots plus anciens.

Mais qu'ai-je fait

Mais qu'ai je fais ?
Se dit la femme au visage tourmenté,
Sur le rivage elle marche
Mais qu'ai je fais ?
Trop parlé certainement,
Apprendre à tenir ma langue
Me disait t'ont plus jeune.
Mais qu'ai je fais ?
Le sable accroche mes pas
Les embruns marin sur
Mon souffle en brume
Termine sa route.
Ce soir pas de bouteille
Pas d'étoiles pour éclairer ma nuit
Juste des questions
Qui viennent vont et repartent
Des questions.
Mais qu'ai je fais ?
Oh terrible pensée.

Citation :

Mais qu'ai je fais ?
Oh terrible pensée.

Je pensais le décourir mais je suis arrivé à la fin... sur ma faim.

Dans le silence de la nuit
je t'attend mon bel aimé
la musique accompagne
ces instants tendres
je fredonne doucement
comme un boomerang
qui me reviendrait
en plein coeur apaisé
Un phoque maintenant
tourne sur ma tête
il s'ennuit dit la chanson
mais non voyons danse
le phoque danse avec moi
tournons dans nos coeur la valse
folle et tendre qui virevolte la nuit
j'aime ces moments paisibles
moments de divagations musicales
j'aime
et j'attends la nuit un bel amour
qui lui ne vient pas
normal je l'ai inventé, oh oui sûrement
crée comme château de sable.
C'est si bon, délice de cet instant
je prend la main de ce bel aimé
touche le velouté de sa peau
chaude, tiède ? Vivante
mes mains se baladent
exploratrice amour amant
porteur de rêves
mes mains voyagent
oh l'étrange voyage
volupté de la découverte
grain de peau
bel amour ta peau m'appelle
oui au coin de l'oreille
le sourire est lumière
sur nos visages heureux
petites parcelles de bonheur
chipé, sur un clin d'oeil complice
et j'aime
la voix qui parle en moi
j'aime
son histoire folle un peu
beaucoup, non pas, mais merveilleuse
vivante
sur un chemin bizarre
un chemin de traverse
me dit t'ont
un chemin de travers
qui m'appelle à toi
j'aime ce chemin
je le prend allègre
je le suis d'un pas léger
le souffle court
le rire aux bord des lèvres
je le prend fredonnante
comme cette nuit me prend
comme cette nuit me possède
j'aurais voulu être ? me dit encore la chanson
Mais je suis !
Une femme bêtement folle en une nuit d'hiver
parlant seule cherchant les mots
de cette belle histoire

Il va falloir que je trouve je lui trouve une fin pour que tu ne reste pas sur ta faim

La fin de l'histoire

La femme déposa sur le sable
délicatement la bouteille
qu'elle serrait sur son coeur.
La mer emportant en ses vagues
les quelques mots porteur de rêves.
Le visage tourné vers l'océan
La peau moite
les cheveux fouettés par le vent
Une larme aux coin de l'oeil
Ainsi fini l'histoire
d'une bouteille échouée
sur la grève.
Les rêves sont ainsi beaux,
lumineuses étoiles filantes
qui s'effilochent doucement
traînées blanche sur
l'azur du ciel.
La femme reprit sa route
un soupir au coeur, le regard droit.
Voici la fin de l'histoire
d'une bouteille échouée
sur une plage
un soir d'automne.

Texte à réécrire je le fais remonter.

Le début colle pas.

Amour heureux
Sa sonne faux
Mais comme disait Louis Aragon
"Il n'existe pas d'amour heureux
Mais c'est notre amour à tous les deux"
Alors je rêve
Je crois
Et j'attends

J'attends mon nouveau voyage

Pas d'amour heureux mais beaucoup de chimères
d'illusions ou de désillusions, l'amour rime avec feu
et parfois le feu s'éteint, il ne reste que cendre.

Quand le feu ne s'éteint pas
La cendre est balayée par de beaux sentiments

C'est l'envol, le coeur le corps et l'âme !

C'est vrai que c'est perturbant: qu'a-t-elle fait, cette femme? On veut le savoir!

Petite note au passage: au sujet de l'orthographe, c'est "Qu'ai-je faiT?"

BiSES

Ce n'est pas pour t'embêter, Anne, c'est juste que je trouve toujours un texte meilleur quand il n'y a aucune faute, alors je les ai corrigées ici > (tu pourras effacer ou éditer ce post après si tu veux)

Anne a écrit:

Pars petit homme sur les sentiers de la vie
Pars, mon souffle t'accompagne,
Pars petit homme n'aie pas peur il ne fait plus nuit
Et si tu regardes au loin
Une étoile brille, il faut la suivre,
Pars petit homme je suis ton ombre
Mes baisers te caressent
Mes baisers t'enveloppent
Mes baisers te protègent
Va petit homme je prends ta main,
Regarde, comme elle est belle la vie.

j'espère que mes corrections ne t'embêtent pas, sinon dis-le moi et je ne le ferai plus.

Par ailleurs je trouve ce texte très mignon et très touchant!

Le bateau rêve dérive, nous dit Anne, de même que

"Faim de pain pleure mon corps, faim de chair hurle mon âme. Oh peau de nacre, oh divine balade, que mes mains avides, en crises, se grisent.
Je ne sais où me mène cette drôle de balade, j'y laisse mes pas, j'erre d'un monde à l'autre, fort, mon cœur qui palpite. Je ne suis plus qu'ombre, doucement, qui disserte.
Ma princesse endormie, mon bateau illusion."

Laisse nous continuer à suivre ton chemin,
Que nous soyons piétons ou bien marins,
Ton pas s'assure vers cette voie poétique,
Emmène nous encore vers cette Rome antique.

Ça c'est bien envoyé, presque de l'Alexandrin.... il s'améliore le Goupil oui !

Je vous remercie tous les deux, ce texte est très malhabile, mais je l'aime beaucoup et j'ai demandé à notre ami Baquenado de le réécrire à sa façon. Y ajouter sa touche.

Je vous voudrais vous le présenter mais j'ai un souci de mise en page, il va falloir que je le retape entièrement, ce sera donc pour demain ou pour lundi.

goupil a écrit:

Le bateau rêve dérive, nous dit Anne, de même que

"Faim de pain pleure mon corps, faim de chair hurle mon âme. Oh peau de nacre, oh divine balade, que mes mains avides, en crises, se grisent.
Je ne sais où me mène cette drôle de balade, j'y laisse mes pas, j'erre d'un monde à l'autre, fort, mon cœur qui palpite. Je ne suis plus qu'ombre, doucement, qui disserte.
Ma princesse endormie, mon bateau illusion."

Laisse nous continuer à suivre ton chemin,
Que nous soyons piétons ou bien marins,
Ton pas s'assure vers cette voie poétique,
Emmène nous encore vers cette Rome antique.

Suivons ce chemin, les mots sont nos amis et qu'importe si la plume parfois n'est pas très adroite ce qui compte c'est d'oser et d'offrir et surtout de se faire plaisir. En tout cas je le pense.

C'est long, mais ça "coule " assez facilement.
On devine que tes mots sont venus par flots, par vagues. Il y a des mots, il y a des rimes.
C'est beau.
On sent que tu es à l'aise avec cette écriture Anne. Comme quoi ... avec l'amour les sentiments reviennent à la surface, les plumes prennent leur envol, les mots glissent, et cela fait du bien, n'est-ce pas ?
Continue Anne. Laisse aller tes pensées et ta plume. Et fais nous profiter de tes créations.

Ce texte à un an Ninon il est sorti d'un coup et je n'ai jamais réussi à le retravailler, le début ne me plait pas.

Je suis à l'aise dans la douleur c'est étrange non ? Plus que dans la joie, elle ne m'inspire pas trop la joie.

Oh contraire, tu sais je suis une dyslexique qui fait de son mieux, j'ai un correcteur orthographique installé mais il ne voit pas toutes mes fautes. Dur dur de compenser en permanence, je dois toujours me relire encore et encore et j'en trouve toujours d'autres.
En plus ce sont des fautes d'étourderie celles-ci j'aurais pu les éviter, mais j'étais nostalgique ce soir la et ces paroles accompagnaient vraiment une personne très chère.

Elle a dit quelque chose qu'il ne fallait pas dire. Certains mots doivent rester dans la gorge... Parfois il est plus sage de savoir se taire que de trop parler, car l'aveu de tendres sentiments peut faire fuir l'être aimé.

Cette femme était en souffrance d'avoir trop parlé tout simplement.

Pauline je vais t'embaucher comme correctrice

Je t'en remercie.

Anne :
Quelques mots nouveaux à ce texte qui me colle à la peau.

Goupil :
Merci de nous offrir ce moment que l'on ressent fortement comme de toi.

Anne :
Je vous remercie tous les deux, ce texte est très malhabile.

Goupil :
C'est la qualité de ce texte qui est la cause de nos commentaires, nous n'y sommes pour rien, c'est toi que tu dois féliciter.
De plus, il n'est nullement malhabile et je ne vois aucune raison de te déprécier ainsi.

Anne :
Qu'importe si la plume parfois n'est pas très adroite.

Goupil :
La plume n'est pas maladroite, c'est toi qui ne sais en apprécier la qualité.

Ninon :
On devine que tes mots sont venus par flots, par vagues. Il y a des mots, il y a des rimes. C'est beau.
On sent que tu es à l'aise avec cette écriture Anne.

Goupil :
Que dire de plus et comment dire mieux que ce qu'a dit Ninon?

Goupil :
Anne, continue.

Anne, je pense que tout texte peut évoluer. J
Précisément, l'émotion de l'écriture c'est ça. C'est de faire évoluer ses créations au gré de son ressenti du moment.
J'ai moi-même ainsi écrit trois ou quatre voire plus, de versions d'une poésie qui m'était ainsi venue spontanément. Ensuite, quand l'envie de me prend de la ressortir, je lui fait subir un "lifting". Mais jamais je ne renie les premières moutures.
Prends le temps Anne, un jour que tu te sens inspirée de reprendre ton texte. Selon ton humeur du moment, soit tu retravailles le fond, soit tu retravailles la forme.
Tu peux aussi n'en "sortir" que quelques lignes que tu fais évoluer.
Moi je dis en tout cas que le début est plus que prometteur.

Excuse-moi Anne, je ne savais pas que tu étais dyslexique (j'ai eu des élèves qui l'étaient et je sais que c'est un problème bien difficile à gérer)!

Ma pathologie à moi, c'est l'obsession névrotique de l'orthographe! lol

Désolée

Il est tellement plus sain d'avouer les sentiments que l'on ressent! Même si d'autres n'ont pas forcément envie de les entendre ou ne les partagent pas... Celui qui fuit l'amour ne le mérite pas!