AUTOUR DE MOI... (comme si de rien n'était)

AUTOUR DE MOI


*INTRO SOLO : PIANO.

Le silence règne autour de moi
Mon corps entre quatre planches
Te soulage de mes droits
Comme une terrible délivrance

La beauté de tes tendres pensées
Exprimées dans leurs puretés
Ne pouvaient que me donner
Qu’une illusion d’être aimé

*REFRAIN X1 :

*Autour de moi,
Il y à une lettre aux mots déchirés
Qui se souviens de toi
Comme d’un bouquet de fleurs séchées
Autour de moi,
Il y à nos enfants que tu m’interdit d’aimer
Avec le sourire et comme si, tu n’avais rien à te reprocher
Je ne pense pas qu’un jour ils puissent te le pardonner
Autour de moi,
Il y avait un rêve que j’ai fini par oublier
Parce que tu en as décidé
En écoutant ce que les autres, pensaient de moi

Dehors, le soleil est déjà bien haut et chaud
Il fait même chanter les oiseaux
Mais mon cœur à moi, il est devenu froid
Froid, pour la première fois

Comme une âme torturée
Comme un bonheur crucifié
Je relis pourtant tes baisers qui me bercent
Mes larmes jaillissent et me blesses

*REFRAIN X1 :

*Autour de moi,
Il y à une lettre aux mots déchirées
Qui se souviens de toi
Comme d’un bouquet de fleurs séchées
Autour de moi,
Il y à nos enfants que tu m’interdit d’aimer
Avec le sourire et comme si, tu n’avais rien à te reprocher
Je ne pense pas qu’un jour ils puissent te le pardonner
Autour de moi,
Il y avait un rêve que j’ai fini par oublier
Parce que tu en as décidé
En écoutant ce que les autres, pensaient de moi

Un vent souffle doucement
S’enroule entre mes cheveux
Glisse sur mes yeux
Et m’emporte lentement

L’espoir n’est pas venu
Je crois bien qu’il s’est pendu
Des nuages blancs se mélangent
Me montre du doigt les anges

*REFRAIN X1 :

*Autour de moi,
Il y à une lettre aux mots déchirés
Qui se souviens de toi
Comme d’un bouquet de fleurs séchées
Autour de moi,
Il y à nos enfants que tu m’interdit d’aimer
Avec le sourire et comme si, tu n’avais rien à te reprocher
Je ne pense pas qu’un jour ils puissent te le pardonner
Autour de moi,
Il y avait un rêve que j’ai fini par oublier
Pace que tu en as décidé
En écoutant ce que les autres, pensaient de moi

A présent, je n’ai plus à lutter contre ses regards fuyants
Et je n’ai plus à exhumé le doute à peine masqué
De ces gens qui me reconnaîtrons sûrement
Je n’ai plus le besoin, ni l’envie de t’aimer

Mais comment peux tu continuer à sourire
Après m’avoir tant promis
Tu n’as vraiment rien compris
Je t’efface de mes souvenirs

*REFRAIN X1 :

*Autour de moi,
Il y à une lettre aux mots déchirés
Qui se souviens de toi
Comme d’un bouquet de fleurs séchées
Autour de moi,
Il y à nos enfants que tu m’interdit d’aimer
Avec le sourire et comme si, tu n’avais rien à te reprocher
Je ne pense pas qu’un jour ils puissent te le pardonner
Autour de moi,
Il y avait un rêve que j’ai fini par oublier
Parce que tu en as décidé
En écoutant ce que les autres, pensaient de moi

*PETIT PONT SANS MUSIQUE : EN PARLANT.

*Je te souhaite tout le mal que tu nous à fait…

*LE FINAL : SOLO PIANO.

DAGUE Pascal.

Tu écris bien, tu es inspiré. Bon courage dans ta vie Pascal et continue à écrire, cela te fait du bien et cela est toujours un plaisir de lire sur le bateau de belles choses.

Merci Ninon... Pour ton petit message (de bienvenu) mais aussi pour autant d'espoir que je lie dans tes mots... Même si, pour ma part je n'en veux aucun (je n'ai rien contre toi) violent peut-être comme départ (mais rassure toi, ce que je dis ne te concerne pas) c'est juste pour moi. J'en ai trop bavé, trop enduré, pour croire en un hypothétique espoir venu d'ailleurs... Mes mots, je les portes sur mon dos, pour qu'au simple regard de ces gens plus prétencieux, malicieux, croyant tout connaitre de la vie mais en fait, si peu, me fusille de leur yeux mais cette fois ci, à la lumière du grand jour, et non plus (juste dans mon dos)... Pardon, je ne voulais pas te choquer au cas ou je l'aurais fait. Merci à toi pour ton commentaire. Pascal.

T'inquiète Pascal, je ne suis point vexé, ni choqué.

Tu as tout a fait raison Ninon... Les absents ont toujours torts ! Merci à toi, merci de ne pas m'en vouloir mais depuis quelques temps je reste et je suis à vif : espoir, courage, avenir, le temps et toutes ces autres conneries avec lesquelles on me bascine depuis un moment déjà, me farcie la tête. Je me cache un peu, comme ces animaux qui se laisse mourir, j'écris pour oublier certaines choses, j'essaie de ne plus souffrir de ce que l'on nomme l'amour... Mais je me mens à moi même, et sa fais terribement mal. Voilà. Encore merci à toi. Pascal.