I
Longue ballade, accompagné.
II
La flambée impie, noyée
et un homme au bas de la montagne.
III
Les chants chantent le soir
et s’écoutent aussi, les ruisseaux ruissellent.
IV
La mer est si belle
et si belle est la lune, la vie, la fleur.
V
L’arbre est presque au ciel, et le ciel
presque nu.
VI
La rivière coule.
VII
La brume, l’envol
le long d’un souffle sur l’arbre.
VIII
Souvent, la haie
en revanche mais pourquoi?
IX
Mon festin, mon aimée
luth ailé mais perdu, sans voix, jeté.
X
En cette lampée
de fortune maigre, qui fut un jour, parfois souvent.
XI
Tempête, je danse, et toute ta lumière
resplendit en été.
XII
L’aube, sortie d’un miroir
son reflet bousculait