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Mon tendre amour
Mon tendre amour, je suis mélancolique, triste sans raison, l’ennui me dévore, je me sens incomplète, je cherche ma moitié, une part de moi perdue en chemin, une part de moi qui me manque tant, mon âme se déchire, mon âme pleure, cette petite parcelle éteinte qui cherche sa lumière. Je voudrais pouvoir dire, mais ou es-tu petite lumière qui me fait défaut ?
Je voudrais pouvoir te dire mon cœur est plein de toi, mon cœur bat pour toi, mais ou es-tu... |
Au cœur de la nuit, dans le silence diurne Mes songes porteurs, sur un rivage déposent Au cœur de ma nuit brille une étoile, Chauds ses rayons, ils caressent mon cœur. Je tends l’oreille, mais non je ne l’imagine pas Ce petit son qui vient à moi. Une radio lointaine, parasites incertains, Des voix hachées et une musique métallique. Les habitants de ma nuit, aiment la musique.
Sram
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J’ai écris une lettre que je t’envois toi si haut Cette lettre raconte trop de choses Ma vie, mon histoire et comme dans un grand sac Je balance tout, dépose ainsi émotions, larmes, Joie tout ce qui fait une vie. Une vie d’homme simple, sans prétention. J’ai écris cette lettre pour toi, car il est temps Que tu saches qui je suis vraiment. Pas celle des illusions, pas celle qui invente sa vie Non celle qui parle juste, qui essai de rester honnête, D’écouter son cœur avec sincérité. Pas simple crois-moi quand on est une personne |
Dans ma maison d’amour
Dans ma maison d’amour Il y a des hérissons, des oiseaux Des petites boules de poils, Dans ma maison d’amour.
Dans ma maison d’amour Il y a deux enfants. Il y a l’Amour, Dans ma maison d’amour.
Ma maison d’amour Vaste et généreuse, La porte ouverte, Ma maison d’amour.
Dans ma maison d’amour Il y fait chaud, et doux, Il y a de la place pour vous accueillir En se serrant un peu.
Je distribuerais douceurs Tendresse affection, |
Sur le chemin de la vie
Sur le chemin de la vie, J’ai croisé ma vérité Une route parfois étrange, Ou il m’a fallu déposer mes vieilles peurs Pour mieux avancer Garder la tête haute, face à la lumière Du jour nouveau qui se lève. Je n’ai plus peur de l’obscurité D’ailleurs, l’obscurité n’est pas que noire Elle est le sombre qui habite Les âmes en deuil, en perte d’espoir. Mais c’est le jour blanc lumineux Qui rayonne maintenant autour de moi, Je le veux plus fort plus riche encore. |
Je ne suis plus là
Je ne suis plus là, j’ai perdu ma route Elle me paraissait si belle, si droite Maintenant elle est chaotique Je ne suis plus la, juste ombre Qui chemine, et se tord, Ombre noire, qui se voudrait blanche Ombre lumière qui a perdue espoir Je ne suis plus la, mais j’aimerais tant L’être un peu, palpiter au fil du temps Suspendu… Je voudrais être la, Un peu, beaucoup, Peut-être passionnément Accroché à la vision d’une autre route Lumière, vibration,...
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Mélancolique
Ce soir je m’appelle Mélancolique Je cherche la joie mais elle ne veut de moi Je cherche les rires, je ne trouve que les pleurs Je cherche ton visage et c’est ton image trop loin Qui me revient…. Ce soir je m’appelle Mélancolique Mon cœur serré chasse les larmes Je suffoque plus de souffle perdu le rire Juste la peur des lendemains tristes comme ma mélancolie
Sram
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Il est un homme que j'aime Il est un homme que j'aime je ne le connais pas je l'imagine mes yeux le cherchent. Il est un homme que j'aime trouble est l'histoire douce apaisante pour un homme que j'aime sans le connaitre vraiment le cœur aime les chimères ils les crées les inventes de poussière il redonne la forme d'un homme un soir aimé sur un air de musique il est un homme que j'aime il est sourire il est rire tantôt moqueur tantôt tendre cet homme que... |
Rêve et illusions
C’est l’histoire d’un homme solitaire, d’un homme triste, mélancolique, un homme perdu, un homme errant qui cherche un sens à sa vie sur une route poussiéreuse, les cailloux roulent sous ses pas, il est si las et fatigué, le poids de la solitude, l’amour perdu raisonne en lui. Il soliloque, il se parle tout bas…
Qu'il est dur ce chemin se dit l'homme, mais ou vais-je ainsi, je marche depuis si longtemps, je titube, j'ai l'impression d'avoir bu mais je sais qu'il n'en est rien, c'est... |
L’éveil
Il ne faut pas rester trop longtemps silencieux L’évolution passe par la méditation, Mais les mots ont leur importance, que ce soit En rime, ou très simplement déposés sur une feuille de papier. J’ai eu tort, je ne devais pas me taire, j’ai tant à dire. Mon cœur palpite il est loin d’être mort, mon cœur frétille, Mon esprit se dérobe me joue des tours, mais reste stable Je peux donc continuer et poursuivre mon chemin. Sur ce chemin il y a les rencontres, les amitiés, l’amour Il y... |
Regard posé sur la dune,
Mes pieds ensablés s'y fondent.
Senteurs iodées à mon âme m'inondent.
Lumière.
Mes yeux panoramiques visionnent,
La ronde d'un paysage, |
Matins gris et mélodique Se déverse la musique d'un jour gris mélodique mélopée hachée note après note mon esprit s'y perd, mon esprit s'envole la marche est lente, le souffle calme mais voilà que l'enchainement suivant entraine mes doigts en une frénétique valse je cours je vole et je repose trois doigts sur le piano et me revoilà suspendu au vol d'un oiseau et me voilà perdu au regard d'un passant ce jour la, le ciel me sourit sous son manteau... |
Le royaume des muets
Au mur du silence commence le royaume des muets.
Un étrange pays, avec de drôles de personnes.
Se taire est leur devise, porter des œillères les sécurises.
C’est un difficile pays, ou l’on ne peut guère dialoguer
Ou les mots retombent et s’écrasent comme des pierres.
Pauvre nous, avec notre bonne foi comme défense
Pauvre vous qui perdez la boule, car rien n’est possible
Face à ce mur, rien croyez-moi, on se sent peu de chose
Face à celui qui refuse... |
J’ai marché
Perdu dans les marais
Il faisait froid
Il faisait gris
J’ai usé mes pieds
Gelés à la boue du sol
J’ai marché harassé
Perdu
Sombres les bois
Quand il fait froid. |
Certains jours nous paraissent trop sombres On déambule un peu paumés Cherchant l’étincelle, l’éclat qui redore notre horizon bouché. L’esprit humain, drôle de machine trop vite s’enlise, alors que la ligne, devant nous dessine le bord du chemin. Aveugle au soleil factice, de ce jour d’automne je ne vois que du gris un rien monotone. J’aimerais pouvoir dire, je t’aime, mais comment tourner ces mots… Ils sont pour moi, l’absolu… J’aimerais pouvoir dire, regarde la plaine ; les tons verts se noient dans la lumière sereine. Partager... | |
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