Lundi 2 février, pas chaud... à pas mettre son chien dehors...

Ce froid matin de février, sortez votre vieux tourne-disque, sur la platine une bonne vieille galette noire, la voix d’ Astrud Gilberto…..la fille from Ipanema
Et oui, en ce 2 février un certain Stanley Gayetzsky, il y a déjà un bout de temps, c’était en 1927. Bon il est plus connu sous le nom de Stan Getz. Stan Getz, souvenez-vous, l'un des plus grands joueurs de saxophone "The Sound" "

Cet Américain né Philadelphie, découvrit la bossa nova au Brésil en 1962. Il enregistre avec Gilberto avec le "père" de la bossa nova, le fameux « Ipanema » dont il existe des centaines de versions aujourd’hui. C’est, lui aussi, dit-on qui découvrit Chick Corea le pianiste.
En mélangeant des accents jazz nord américain à des rythmes Bossa plus cool, il créa une sonorité douce, feutrée, très tendre et si élégante. Je suis de ceux qui pense que son influence fut grande sur l’œuvre d’un Miles Davis.

Bon allez, on soulève le bras, on le repose délicatement au début…..
Tall and tan and young and lovely
The girl from Ipanema goes walking
And when she passes
Each one she passes goes - aah

When she walks, she's like a samba
That swings so cool and sways so gentle
That when she passes
Each one she passes goes - ooh

(Ooh) But I watch her so sadly
How can I tell her I love her
Yes I would give my heart gladly
But each day, when she walks to the sea
She looks straight ahead, not at me

Tall, (and) tan, (and) young, (and) lovely
The girl from Ipanema goes walking
And when she passes, I smile
But she doesn't see (doesn't see)
(She just doesn't see, she never sees me, ...)