Les olives du pâtre

Le délire des olives du pâtre m'inspire.

Riresssssssssssssssss!!!

au moins ses olives te boostent : )

Il était chouette notre petit délire.

Je crois qu'il y a les olives qui m'échappent !!!!

Pour que tu comprennes, c'était un petit clin d'œil.

https://bateau-ivre.1fr1.net/les-joies-de-l-ecriture-f3/les-olives-du-patres-t6318.htm?highlight=le+patre+aux+olives

Très bonne idée

Un dur qui roulaient les mécaniques
en marchant d'un pas chaloupé
la cigarette au bec la mèche rebelle
Un mec quoi un dur le vrai

Au milieu de ses brebis
il la trouvait belle la vie
mais un jour il a grandi
et dans les bras d'une jolie
il a cru trouver le paradis

Les olives et le fromage
quelques herbes
un peu d'huile d'olives
sympa le régime crétois
avec un pâtre dans les bras

rire

vous êtes à fond les filles !

Allez rejoins-nous Mélodie, sympa ces petits délires.

je vais d'abord, manger, j'ai tellement faim que je mangerai un gosse avec ses baskets !

et puis j'ai grave envie de cigarette depuis vendredi soir.

Cool pas de cigarettes tu respires un grand coup.

si j'en avais...

coup de chance, c'est toujours le soir que j'ai envie, jamais en journée (enfin, plus rarement). au moins à cette heure ci, je ne peux pas en trouver. je vais aller me coucher, plus sage.

mais qu'est ce que c'est dur par moment !

...
Heureusement le pâtre veillait
à ce que Melodie ne fumat point
et oui, plus le moindre petit joint
et pour la sevrer, il la calinait

Tant elle était en manque qu'il la calinait tellement,
Qu'elle ressentit soudain une furieuse envie d'olives,
Mais pas de ces ovales molles qu'on enjolive,
Pas de celles qui roulent, ici n'est pas le Mans,
Mais bien de celles qui appellent salive,
Et que l'on ne mange en différé, mais bien alive.

Pour mieux les déguster,
en toute sérénité,
buvons du retsina à volonté
et avivons notre sensualité.

Son "ver" en main, les olives dans l'autre
Elle bu à la lie, lui offrant son antre
Ce retsina coulait à flot, encore et encore
Qu'il en remplit ainsi tout son corps.

D'hallali jusqu'à la lie,
C'était les délices d'Orient qu'il allait lui conter,
Là, pas de faux fuyant, juste de la franche comté,
Là, pas de faux fuyant , juste cet hallal lit.

Le retsina à tête montât
suaves les olives
du pâtres sous la langue
la belle engourdit
de tant de délice
au vent offrit son calice

Le vent la pris, mais était-ce le vent ?
ce vin couleur paille était par trop grisant
elle se sentit emportée dans un tourbillon
qui fit choir bien loin son cotillon.

Elle se retrouva dans les prés
Toute sa nuditée lui était dévoilée
Le pâtre voyant la scène au lointain
Se dit: "J'lui collerais bien une main!"

Pour lui ce ne fut que pensée
la belle preste ramena son jupon
et fila bien vite emportant
son rire espiègle