Le stylo levé, pointé vers le ciel

Le stylo levé, pointé vers le ciel, le poète s’interrogeait.

Pointillés en suspens, multitude d’images froissées, non définies, dans l’attente d’une certitude révélée.

Vérité éclose de l’écrit, on ne peut se cacher, même si le mot reste un paravent, il traduit un indicible visible pour lecteurs avertis.

Plutôt que de se cacher derrière, dévoilons le, dans toute sa splendeur !

Étirons le, dans ses métaphores, pourvu qu’il illustre d’une manière parfaite le sentiment qui l’anime,

L’image habille la nudité de l’âme, la beauté a pour vérité la transparence.

Transparence de l’aveu des coeurs immortels, j’entends la souffrance se bousculer dans les couloirs littéraires, un affreux hurlement de longs sanglots répétitifs au verbe aimer.

Rappel infernal, triste mémoire, combien de désirs idéalisés ont été couchés dans le grenier de la publication, pour un si faible écho ?

Et, que nous reste t’il à extraire ? La beauté du mal, la morale du bien, la souffrance d’exister, la solitude partagée, le chant de l’amour, la vie promise à la mort, tout cela nous fut conté !

Qu’avons-nous à commettre qui ne soit pure vanité que celle de la trace griffonnée, ou celle de suivre les lignes de sa destinée pour témoigner de sa futile existence?

Connaissance, tu nous rattaches aux branches de l’histoire, fruit défendu que l’on porte à nos bouches asséchées.

L'encre de mon sang noircit, je sèche mes larmes sur le papier de l'incompréhenson.

Le ciel m'envoie un message:

L'amour, souce d'inspiration, l'unique illumination

Alain Meyer-Abbatucci
http://meyer-abbatuci.le-site.info/

Pourquoi tu fais de la poésie ?

Ma question est nulle, oublie là. C'est comme demander à un peintre pourquoi il peint.
Le désir artistique ne s'explique pas, ou difficilement.

Un p'tit remontant ...Alain?

Peut être qu'Ane Bonny ferait l'affaire,
Un petit remontant d'une belle corsaire,
Adieu poésie, adieu les mauvais vers,
Dans son ciel rebelle, m'envoyait en l'air!

Je rien qu'il n'y ait rien , hélas, de mieux à faire,
Devant tant d'indigence de l'imaginaire,
Va te faire f..., poète, même pas catilinaire,
Et courrons, de ce pas, chez le vétérinaire !

L'injure à la bouche, qu'attends-tu de moi, petite escarmouche?
Vois-tu ce n'est pas de cette manière que l'on me touche,
Je te laisse, seule à ton vétérinaire, pourvu qu'il mouche,
La morve sur tes lèvres, stupide bête farouche!

Rires!

Toujours le grand Amour , vous deux , à ce que je vois lol!

Bisous a vous deux ...mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

J'aime beaucoup l'atmosphère que tu as su rendre...les mystères de la nuit.

Dérive à la tombée du soir, humeur diurne à l'accent solitude,
Ninon, tes rêves, aux mille désirs, viennent dissiper mon inquiètude,
J'aime entendre murmurer, à l'écho de la nuit , ton coeur stylo,
Enchantement du navire, sur tes lèvres feutrées, le mot est beau,
Tels des flocons de nuit se posant sur mon esprit angoissé,
Ta poésie drapée, conjugue merveilleusement le verbe aimer!

Pointé vers le ciel, le stylo soulève des syllabes d'incompréhension,
Lune avalée, nuage engrossé, qu'allons-nous bien vouloir accoucher?
Ninon, ce matin, continue son chemin, j'aime sa cruelle exclamation,
Moi, âme errante, je la suis sur ses sentiers métamorphosés,
Me rendrez-vous la lune qui m'éclairait de sa lumière anémique?
Offrez-moi votre plume, mon écriture vous reviendra magique.

"J'aurais simplement voulu Te croiser" dixit Nino.
Zut, j'suis arrivé trop tard!

Merci des beaux échanges de ce post.

Goupil
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L'homme à tête de renard
Le renard à corps d'homme

Pour sourire, enfin pour Ninon!

Serais je donc puni de ton ire, de ton courroux
D'avoir voulu simplement te faire un ti coucou
Aurais-je des choses tant infâmes insinuées
Pour recevoir de volée de bois vert la nuée
Ce n'est que ton sourire que j'ai voulu croiser
Pas besoin pour cela d'une armure de croisé!

Goupil
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Des monts et démon

Euh!
Vous dérangez pas pour moi ...
Je passe juste sur la pointe des pieds !!!!!!

Continuez.....

Qui est donc l'insensé qui froisse un coeur aimant?
Qu'importe son nom et d'où qu'il vienne d'ailleurs,
Je voudrais être lui pour revivre avec Ninon, l'avant,
Je me griserais de ses vers et lui offrirait des fleurs.

Il mange à tous les rateliers feminins cet Alain ....
hihihihihihihi!

je ne fais encore que passer ....mdrrrrrrrrrrrrrrrrr

Je ne cherche qu’à consoler une Ninon meurtrie,
Un parapluie de rimes pour ses larmes de pluie,
Dissiper les nuages qui ombrent ses espérances,
La faire rire, en lui offrant trois jolis pas de danse.

Dissiper les nuages
dissipez les nuages

il en a de bonnes le Alain??????

Les femmes font leur ravaudage,
Et les hommes le marivaudage,
Nuage fait ses vagabondages,
Continuez-donc vos bavardages !