le journal intime d'un serrurier qui aime ecrire - II

Jeudi 08 mars

Au fond du atelier, isolé des gens et de bruit. Mes yeux veulent enflammer, alors je décide fumer un bon joint. J’ai dormi peu - je m'ai réveillé les trois heures de l'après-midi. Ma belle-sœur et ses amies voisines buvaient des bouteilles de bières en hommage le Jour de la Femme - les petites enfantes Clarinha et Adrielle (elles sont arrières-petits filles de maman, petites-filles de mon frère Biné avec tante Helene. Clarinha c'est fille de mon neveu Danilo et Adrielle c'est fille de ma nièce Danielle qui est enceinte de cinq mois) sont là dans la petite maison grand de la Famille Bamba avec le mur bas, un petit terrasse, deux fenêtres avec grilles et la porte au milieu.
Mes yeux continuent enflammés, un bus passe, la porte fermée. Voix vient de la rue, des gens qui passent dans le trottoir. Le petit-fils de mon voisin Bine joue dans la salle à séjour.



Il a plu, il fait un peu de froid, le ciel nuageux - le bruit des poules dans la cour, elles sont de mon voisin Costa - j'ai mangé un genre de pâtisserie que j’ai gagné à la loterie, c'est l'unique moyen de survivance de ma vie, il n'a pas livré que quelqu'un vient de changer mon destin - je sais déjà qui je vais mourir ainsi comme toujours j'ai vécu - une vie tranquille.



Encore avec faim - le bruit au loin d'hélicoptère de la police et des voitures dans l'avenue - les poules et leurs poussins. Peut-être ici c'est mon lieu - encore non - alors on va concentrer en jouer à la loterie toutes les semaines, ainsi comme mon père Bamba faisait tous les vendredi soir, il fermait leur boutique et il allait payer le joue. Après plus de dix- ans en jouent, une lundi - il a gagné le prix de 200.000 cruzeiros.
Mas il y a un problème, je ne joue rien. Maintenant je vais lire Cervantes - le bruit des feuilles et des arbres sur le vent fort. J’ai pensé qui était la pluie.

La nuit - une jolie lune dans le ciel sans étoiles. L'atelier après fumer le cinquième joint. Je suis allé à lan-house de Dori dans le marché, mais avant j'ai donné un temps dans la Place Sept Palmiers assis dans le banc de bois en bavardant avec mes collègues d'eau-de-vie - je ne suis pas buvant, seulement fumant les joints. Monsieur Nezinho a apparu. Il aime bien boire, on s’aime beaucoup. Il était charretier du Dépôt de mon voisin Biné. Je n'ai rien dans l’ordinateur. Je rêve avec mon livre, sentir l'odeur des encres de la France.
Les mêmes rêves qui jamais pensé ils se réalisent- la même souffrance - mon bon ami monsieur le marchand Seau continue hospitalisé ou chez sa mère. Il est maniaco-dépressif, après le suicide de son frère aîné... C'est très difficile vivre une dépression, c'est horrible - moi-même je souffre, je reste très mal, sans vouloir rien, je n'écris pas et j'ai envie de prendre eau-de-vie - Aujourd'hui je ne suis pas allé chez mon fils, j’ai laissé de côté le quotidien. J'attendais l'épouse de monsieur le retraite Biné arriver par elle me payer les grilles qui j'ai fait - je les ai livré par le matin. Je voudrais aller à la poste envoyer le reste d'argent à la maison d’édition Edilivre - mais la madame n'est pas arrivée. J'ai fermé l'atelier les 12:30 avec mon ami Nezinho
Le parc de diversion est arrivé dans la Place Sept Palmiers, les ouvriers montrent les jouets - sont plusieurs éparpillés. J'ai resté heureux avec l'arrivée du Parc - j'aime le parc et le cirque - parce que ils faisant la joie des enfants. Un bœuf pâturait dans la patère près d'un jouet
23:00 Dans la salle à séjour de la III maison Bamba - buvant une bouteille de bière qui ma belle-sœur m'a donné...

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