Pensé(e)s d'un vendredi

Chère Madame, si je puis me permettre, je crains que parfois ce bon Monsieur Pennac, ne dise une connerie. Changer le décor ! pourquoi pas faire l’autruche, mettre la tête dans le sable aussi ? non ? Si on ne peut pas changer le monde, il faut essayer de faire avancer le smilblic, un grain de sable arrive bien à gripper un engrenage. Qui n'ose pas, n'arrive à rien.

Cela peut tout simplement signifier qu'à défaut de changer le monde entier, changeons ce qui nous entoure... ;)

Un "décor", c'est souvent factice.

nane a écrit:

Quand on ne peut pas changer le monde, il faut changer le décor.
Daniel Pennac

Pas mal, pas mal !

Moi je mettrai plutôt " changer de décor "

A méditer !

C'est imagé cher Gus !

Hélas, je crains que ce cher Monsieur Pennac n’ait plus la verve de ses jeunes années. Au fur et à mesure que s’agrandissait son compte en banque, l’inspiration s’émoussait inversement et proportionnellement.
Alors « imagé, imagé !» n’est pas Céline, Malraux, Camus ou Le Clézio qui veut !

Mais qui est donc ce monsieur dont on parle si bien !

Lors de sa jeunesse, sa scolarité fut particulièrement désastreuse. Dans Chagrin d'école, il prétend avoir mis un an à assimiler la logique et la complexité du caractère "A" ; son père, polytechnicien, général, ne s'en serait toutefois pas inquiété, affirmant que son fils maîtriserait parfaitement l'alphabet au bout de 26 ans.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Pennac

Par la suite il s'est arrangé tout de même !!

Oui, Papy-Loup, mais l’amélioration fut éphémère, pas à la hauteur des espérances…..

Bon j'en déduis que Gus n'est pas un admirateur invétéré de Monsieur Pennac fils rire !

Allez il aurait pu répondre par l'une de ses citations :

«Dans la vie en général, il ne paraît jamais naturel ni mérité d'être aimé. C'est un honneur.»