Les Belles cartes Postales de Lozère

Merci, je serai là dans un mois et demi!

un apéro géant ????

Je ne sais pas ce que je ferais cette année peut-être une virée dans les Cévennes mais rien de précis encore.

Vous allez dire il nous ressort encore une cp de Batteuse, excusez moi mais j'adore ses scènes de dépiquage, cela me rappèle de bons souvenirs !

La Moisson, les préparatifs.
Le jour J tout ce monde qu'il fallait pour servir cette machine, et chaque personne avait sa place!
Le bruit (agréable, régulier) de la batteuse, le moteur Bernard à essence, (la locomobile j'ai pas connu, c'est beaucoup plus ancien), la courroie qui sautait souvent, bien difficile pour la remettre, tout un art que savait faire le maître des lieus !
Une chose désagréble c'était la poussière !

Les repas qui s'ensuivaient, puis le fête.
Malgré la pénibilité du travail, c'était convival !

En ce grand jour, la famille, les voisins avaient posé le temps d'une photo souvenir, certains sont identifiés !
Le maître de maison Alfred et sa Juliette, les deux petits (devant) Dédé et Robert, Raoul sur la meule.
A gauche on peut voir celui qui surveille le tout, le bon fonctionnement de l'ensemble, le moteur, courroie, mais aussi le remplissage des sacs, et leur remplacement, comme on disait celui qui veille au grain !

Une belle photo qui nous raconte vraiment ces moments des moissons.

Quand j'étais gosse à Vialas la moisson se faisait manuellement, de grands champs à la faux.

Tu connais ces personnes ou les as connus toi et les tiens Gabale ?

Anne a écrit:

Une belle photo qui nous raconte vraiment ces moments des moissons.

Quand j'étais gosse à Vialas la moisson se faisait manuellement, de grands champs à la faux.

Tu connais ces personnes ou les as connus toi et les tiens Gabale ?

Non celle ci n'est pas de mon village, mais c'est une vue prise en Lozère quand même, j'aimerai bien savoir ou ça été pris !
Par contre j'ai des photos de scènes de dépiquage dans mon cher village de Lozère, c'est vrai j'aurai pu vous en mettre une (photo) .

Je n'ai pas de photos et c'est dommage j'étais enfant, j'adorais l'odeur tu dois t'en souvenir.

Anne a écrit:

Je n'ai pas de photos et c'est dommage j'étais enfant, j'adorais l'odeur tu dois t'en souvenir.

Oui tout ce que je raconte, c'est du vrai, ce sont des souvenirs, donc du vécu !

Je sais et c'est super de partager ainsi des parcelles de ta vie.

Moi j'étais gosse fascinée je descendais courait dans les prés pour dire bonjour aux moissonneurs et je regardais.

Petite anecdote , je me souviens de mes premières vacances au pays en Eté, repos bien mérité que je prenais bien souvent en Juillet !
Je remonte là (dans le temps) des années 65 à 70, je débutais ma vie de travailleur !
Je venais de m'offrir mon premier appareil photo, et ensuite une caméra super 8, je me souviens avoir suivi tout un aprés midi (dans ses prés) un paysan du coin, c'était le dernier agriculteur à travailler avec des boeufs, comme il était fier de poser, je m'en souviens comme si c'était aujourdhui, ce Mr n'est plus de ce monde, mais les souvenirs restent gravés !

Et tu as encore les photos ? Tu pourrais nous les montrer ?

Anne a écrit:

Et tu as encore les photos ? Tu pourrais nous les montrer ?

Oui je chercherai dans mon fourbi, plutôt dans mes tas de vieilles photos , je vais bien retrouver pour vous montrer !
Dailleurs j'ai idée, depuis longtemps je voudrais en faire une carte postale, une cpsm ce serait sympa, mais avant faut que je demande l'autorisation aux enfants de ce Mr !

Photographie déjà ton fourbi pour nous donner une idée, rire ! Et puis mets nous bien vite les photos du temps jadis et des métiers d'autrefois... Je viens souvent voir ce post.

Sans vouloir m'immiscer le moins du monde dans la relation entre Nane et Gabale quant au fourbi de ce dernier, dieu m'en préservant, un commentaire doit toutefois être apporté sur une utilisation stricte du vocabulaire français.

Ainsi, fourbi, du verbe fourbir, signifie-t-il poli par le frottement, du francique furbjan, nettoyer.
Le sens réel en est donc qu'il faut avoir nettoyé l'instrument avant que de le faire reluire avec la brosse et que de l'utiliser.
Une déformation de sens familière a transformé fourbir en fournir.

Nane, pour nous résumer, donc, il faut être prudente avant que de mettre les mains dans le fourbi de Gabale.

Un peu d'histoire Mendoise si vous le voulez bien !

Ce grand Hôtel Mendois durant la dernière guerre fut le siège de la Kommandantur durant quelques années, le drapeau à croix gammée, flottait sur la porte d'entrée, quand les troupes allemandes se retirètrent, le 20 Août 1944, les FFI occupèrent l'Hôtel de Paris, qu'elle satisfaction, le drapeau Français flottait à nouveau à Mende !
Quelques années plus tard, le 23 Août 1947 c'est dans cet Hôtel que fut assigné en résidence le chiffonnier Milliardiaire, Joseph Joanovici, condamné pour collaboration économique, il s'enfuira de Mende , le 9 Octobre 1957, en laissant une belle ardoise !

Il existe toujours ce bâtiment ?

Anne a écrit:

Il existe toujours ce bâtiment ?

Toujours debout, ce grand batiment qui fait angle avec la Montée Jalabert

de nos jours c'est la Chambre des métiers, seul reste le café " de Paris "


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Agrandir le plan

on reconnait bien le batiment, merci !

Merci Myrtille, c'est sympa de voir le même bâtiment à deux époques différentes. Je connais très peu Mende, j'ai du y aller deux trois fois seulement et il y a longtemps.

Google ! C'est génial !

Il reste une grave question : qui est Myrtille ?

Jean-Louis a écrit:

Il reste une grave question : qui est Myrtille ?

un client du Mathogana

Moi je sais.

Anne a écrit:

Moi je sais.

En tout cas ce doit être un (autre) passionné de cartes postales anciennes, qu'en penses tu ?