QUITTER LE NID

Toute ma vie j'ai quitté le nid, mon existence fut une suite de nids entrecoupés d'envol...
Jeudi, j'aurai 50 ans, ce qui est très vieux au 21ème siècle, mais je continue toujours de quitter le nid...
Mon but, aller voir ce qu'il y a de l'autre côté de la ligne d'horizon...
Pour ne pas vieillir trop vite, ne pas s'arrêter, jamais...
Seul le mouvement compte, l'envol....
Joli texte

Amitiés

Pascal

Lei, il a fallut beaucoup de courage pour écrire ce texte, il est fort, émouvant, et cette petite fille que tu connais si bien a été courageuse, elle a progressé et laissé derrière elle les vilains compagnons des moments difficiles.

Nous venons au monde, la route à suivre n'est pas droite lisse, il faut bien souvent beaucoup de souplesse pour arriver à grimper et contourner les obstacles.

Les parents nous laissent un drôle d'héritage, tout se joue si petit, et parfois même avec la meilleure volonté font des dégâts.

La petite fille de ton histoire à eu beaucoup de chance de croiser l'amour, un homme aimant avec qui partager le meilleur et crois moi je lui souhaite, je te souhaite beaucoup de bonheur pour continuer a faire face, et poursuivre le chemin.

J'aime cette image que tu emplois, Militant de l'amour, une image forte. Reviens-nous vite Lei.

Très ému par ce témoignage à la recherche d'un amour
qui ne vient pas, toujours dans l'attente d'un espoir,
c'est désespérant cependant la vie apporte des surprises... et par chance!
Ce qu'il faut retenir dans une telle situation, c'est
de vivre pleinement, cheminer vers l'avant.
Effacer, si possible, l'antan et être heureux car
nous avons droit au bonheur.

amitiés québécoises,

André,épervier

Tu as quitté le nid parental ou tu te sentais mal pour construire ton propre nid.

Fais en sorte qu'il soit douillet et plein d'amour afin que tu puisses toi même en donner autour de toi.

Continue à nous parler, car « T’es toi quand tu parles ! ».

Écrire aide à dépasser des souffrances, mettre des mots aux "maux" et les offrir ainsi en partage, une vrai thérapie. On le fais tous un peu, mais la tu es carrément courageuse, car tu nous as dit, c'est de moi que je parle, voici ce que j'ai sur le coeur, ce qui me mange l'âme et l'esprit, pas tout le monde à la force de se dépasser ainsi.

Lei,
Il est vrai que la société est très malade.
Le respect s'est envolé, tous les fondements
de la dignité humaine n'est que poussière;
c'est un "chacun pour soi", l'entr'aide, on s'en
désole mais on continue quand même sans se
soucier de l'importance d'une vie importante.
ON est déroute incapable de saisir le pourquoi
et le comment et le résudre par le fait même.
C'est un constat pas reluisant mais tellement
réaliste.

André, épervier