J'ai retrouvé ces quelques lignes qu'adolescente j'avais noté dans un carnet.
Je vous les offres.
Le livre de la vie est le livre suprême
Qu'on ne peut ni rouvrir ni fermer à son choix.
Le passage adorait ne s'y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal s'y retourne de lui-même.
On voudrait revenir à la page ou l'on aime,
Mais la page ou l'on meurt et déjà sous nos doigts.
Oui je sais un peu triste ces quelques lignes, mais si vrai qu'à les relire, les redécouvrir, mon coeur en est fort touché.