Chambre à marée haute

Ta peau d'ambre et de foudre.
Son feu jamais éteint
L’orage de Van Gogh
Au salé de nos mains

L’échancrure d’un cri.
Tes prières à jamais.
Le verbe que tu trembles
Et toi qui me sais là…

Nos nuits désordonnées
À déchiffrer ta vague
Son pli que je suppose
Où baille ton destin

Les sarments de ta vigne
Sous ton pagne l’Espagne
L’argile de ta forge
L’algue de nos baisers

Tes maquis scintillants
Où je sais des lumières
Sous la brume d’un chant
Sa voilure carmin

Et moi ce mal venu
Démêlant tes crinières.
Ton âme où me cacher
De fleurs et de scandales

Avec une tiédeur
Avec des folies
Au vague de tes yeux…
Et la chambre, la mer
Plus haute chaque matin

Tes textes surla mer nous enchantent, normal nous sommes sur un bâteau...
Ne nous poses pas de lapin, cela porte malheur.


Au fait tu fais du vélo?


Dit elle en passant: o ))))))))

Non je ne fais pas de vélo... Marrant cette question

Pas grave continue d'écrire :)

C'est toujours ma question piège le vélo hé hé: ))

Salut Lbosco ::

Jolie entrée avec ce nouveau poeme... fait pas attention à Cotinne, le vélo c'est son obsession ! elle en rêve toutes les nuits...

C'est très beau ce poême. J'aimerais savoir faire des trucs comme ça.

Suis dubitative...

Jonquille a écrit:

Suis dubitative...

ah bon ! C'est à dire ?

Jean-Louis a écrit:

Salut Lbosco ::

Jolie entrée avec ce nouveau poeme... fait pas attention à Cotinne, le vélo c'est son obsession ! elle en rêve toutes les nuits...

oui, je l'avais compris, en fait, elle veut savoir si moi aussi, je vais à la selle

Mais nan rien a voir avec cela, c'est juste une histoire de petit creux et de taille du braquet.

C'est mieux que de demander ton âge non?

Jean Loup arrête d'être médisant hein!